Cymbidium

Nom scientifique : Cymbidium
Famille : Orchidées, Orchidacées

Les orchidées du genre Cymbidium sont faciles à cultiver, car notre climat tempéré leur convient de mai à octobre et les aide à fleurir abondamment. Les hybrides, et nombre d’espèces naturelles aussi, refleurissent et grandissent sans difficulté lorsqu’on répond à leurs besoins assez simples.

Fleurs de Cymbidium
Fleurs de Cymbidium © Au Jardin
Fleurs de Cymbidium
Cymbidium
Particulièrment bien fleuri cette année - 5 hampes florales. Toujours dehors sur une terrasse au sud à Avignon. Dans un petit pot à réserve d'eau il refleurit chaque année depuis très longtemps sans aucun entretien - à part l'engrais spécial orchidée - ni changement de pot.
Mon cymbidium. Increvable. Il a une vingtaine  d'années !
Cymbidium à petites fleurs
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Le genre Cymbidium représente 55 espèces d’orchidées et des milliers d’hybrides horticoles ; ils appartiennent donc à la grande famille des Orchidacées et à la sous-famille des Epidendroidées.

Les cymbidiums sont bien connus en horticulture où de nombreux cultivars sont proposés couramment. En effet, ce genre offre des orchidées faciles à cultiver, même pour un amateur non averti, des cultivars sublimes aux grosses fleurs qui refleurissent sans faute chaque année pourvu qu’ils soient assez nourris.

Il faut savoir aussi que nombre d’espèces botaniques ne sont pas vraiment beaucoup plus difficiles à cultiver, et certaines sont couramment disponibles chez les producteurs spécialisés.

La fleur du cymbidium correspond bien à l’idée générale que les gens se font d’une orchidée. En outre, elle dure vraiment longtemps : 4 à 12 semaines sur la plante, et 2 à 4 semaines une fois cueillie. Le Cymbidium fait partie du commerce de la fleur coupée. 

Par les anglophones, les cymbidiums sont appelés « boat orchid », en référence à la forme du labelle, cette expression est parfois traduite aussi en français, donc comme « orchidée bateau ». Les espèces du genre Cymbidium sont cultivées en Asie comme plante ornementale depuis plus de 2500 ans. Elles sont évoquées dans les écrits de l’époque de Confucius.

Distribution géographique

Les espèces de Cymbidium sont réparties dans le sud de l’Asie, en Indonésie et du côté nord-est et à l’est de l’Australie. Elles vivent en climats tempérés doux à tropical humide.

Caractéristiques du genre Cymbidium

Les Cymbidium sont des orchidées épiphytes ou terrestres, lithotrophes ou plus rarement mycotrophes, c’est-à-dire sans feuilles et se nourrissant grâce aux champignons. Leur feuillage est persistant.

Leur croissance est sympodiale : de nouvelles pousses croissent à partir d’un rhizome qui « avance », année après année.

Bien qu’il y ait quelques exceptions dans ce genre comme Cymbidium repens ou Cymbidium nanulum, la plupart produisent des pseudobulbes ovoïdes, elliptiques ou fusiformes. Ces pseudobulbes sont des bases de tige renflées qui servent de réserves. Ils sont entourés et couronnés de feuilles distiques, généralement linéaires, et même parfois très longues (80 cm).

Certains cymbidiums, notamment parmi les plantes hybrides, sont très imposants.

Les inflorescences émergent de la base des pseudo-bulbes et il peut y en avoir plusieurs qui se développent par pseudobulbes. Les Cymbidium fleurissent souvent en hiver ou au printemps, lorsque leurs pseudobulbes ont acquis toute leur maturité. 

Les hampes, dressées, arquées à retombantes des espèces portent entre 2 et 20 fleurs par tige florale. Les fleurs des cymbidiums botaniques ont une taille comprise entre 4 et 12 cm, mais les fleurs des hybrides les plus grands atteindront 15 cm de large tandis que leurs hampes, longues jusqu’à 80 cm, portent parfois 50 fleurs !

Certaines espèces sont parfumées comme Cymbidium hookerianum, Cymbidium iridioides, et Cymbidium tracyanum

Dans la fleur, pétales et sépales sont libres et quasiment similaires la plupart du temps. Les lèvres fusionnées en labelle sont souvent trilobées : 2 lobes autour de la colonne arquée ou ailée et un lobe médian souvent recourbé.

Les fleurs offrent presque tous les coloris sauf les tons bleus. Elles sont parfois de couleurs multiples chez les espèces, striées ou ponctuées, tandis que les hybridations tendent vers des teintes monochromes ou seulement avec un labelle contrasté : jaune, orange, rose, rouge, marron, verte.. et même noire avec ‘Kiwi Midnigth’.

Cycle de croissance du Cymbidium

La croissance des nouvelles pousses intervient au printemps. Les pseudobulbes de l’année antérieure produisent 1 à 3 nouvelles pousses, d’abord sous forme de longues feuilles rubanées, puis la fin d’été arrivant, un pseudobulbe qui s’épaissit à la base. L’automne venant, ce pseudobulbe murit et produit les hampes florales, le plus souvent en hiver ou au début du printemps.

L’année suivante, ce pseudobulbe produit de nouvelles pousses et peut aussi refleurir éventuellement. Il reste en feuilles encore 1 année ou 2, puis les perd, mais reste encore vert une année de plus avant de brunir et sécher, non sans avoir eu, théoriquement, une ribambelle de descendants.

Les cymbidiums sont des plantes de croissance vigoureuse qui vivent très longtemps. 

Culture des orchidées Cymbidium

Les orchidées Cymbidium sont faciles à cultiver et à refaire fleurir : il suffit de connaître quelques impératifs faciles à mettre en œuvre et ils deviennent particulièrement satisfaisants et généreux.

Température

En dehors d’espèces botaniques qui demandent parfois des soins un peu différents en fonction de leur origine géographique, la plupart des Cymbidium demandent un climat pas trop chaud. Ils sont d’autant plus faciles à cultiver qu’ils se complaisent dehors, dans une cour ou un jardin ombragé pendant les heures les plus chaudes durant la belle saison soit, de mi-mai à fin octobre. Ce qui tombe bien, c’est qu’ils fleurissent en automne, hiver ou début du printemps, soit lorsqu’on les rentre dans la maison !

Sauf à vouloir tester leur rusticité, on estime que la température minimale à leur faire subir en toute sécurité est 6 °C, la nuit.

À l’inverse, les cymbidiums se prêtent mal à la culture à l’intérieur de la maison toute l’année, parce qu’ils nécessitent une grande amplitude de température entre le jour et la nuit, pour leur croissance et surtout pour l’induction florale, d’où l’intérêt de les mettre dehors ou en serre froide.

Lorsqu’on les rentre pour l’hiver, il faut leur trouver un endroit lumineux, mais dont la température est comprise entre 13 et 18 °C (une véranda est idéale), le temps que les hampes florales soient en bouton, sous peine de faire tomber les boutons de fleurs. Une fois que la floraison débute, la plante peut être éventuellement déplacée dans un endroit un peu plus chaud pour mieux en profiter.

Humidité atmosphérique

Pendant leur saison de croissance, les cymbidiums apprécient une humidité atmosphérique de 60 à 80 %. Les installer dehors, protégés du soleil brûlant par des arbres ou des arbustes, permet qu’ils profitent de la rosée et de se désintéresser du problème. Ils seront toutefois protégés des vents desséchants.

Lumière

Le cymbidium nécessite une lumière importante sans soleil direct, sauf éventuellement tôt le matin ou tard le soir.

Arrosage

Arrosez copieusement 1 fois par semaine pendant la saison de croissance des feuilles, puis 1 fois tous les 10 jours d’octobre à avril. On ne laisse pas le substrat sécher complètement. On ne le laisse pas non plus tremper longtemps dans une grosse quantité d’eau (cache-pot).

Les grands hybrides supportent très bien l’eau du robinet, même calcaire.

Substrat et rempotage

Le cymbidium a de grosses racines assez fragiles. Il n’est rempoté que lorsque c’est indispensable en évitant au maximum de les casser, soit tous les 2 ans maximum.

Il peut être transplanté dans un mélange d’écorce de pin et de billes d’argiles, ou dans un mélange d’écorce de pin et de terreau (1/3 écorce de pin, 2/3 terreau de bonne qualité). Dans ce dernier cas, le substrat sèche moins vite. D’autre part, il apporte des nutriments, alors qu’avec seulement de l’écorce, il ne l’est pas du tout.

Certains producteurs les élèvent aussi avec grand succès dans de petits bouchons de fibres de roche, maintenus toujours humides.

Le rempotage se fait juste après la fin de la floraison et avant l’enracinement des nouvelles pousses.

L’idéal est de positionner la base des pseudobulbes au même niveau que le bord supérieur du pot, car çà permet à la plante de déborder du pot ensuite, de ne pas bloquer ni les nouvelles croissances ni les tiges florales à l’intérieur du pot.

Nourrir son cymbidium

Les Cymbidium ont une croissance rapide et sont gourmands en engrais. Ces apports sont indispensables pour faire refleurir la plante de manière abondante. Ils demandent un engrais plus concentré que les autres genres d’orchidées, donné 1 arrosage sur 2.

Donnez la dose recommandée d’un engrais à orchidée, ou alternez un engrais NPK proche de 15.10.15 pour le feuillage avec un engrais aux proportions NPK proche de 8.12.24, qui aide à fleurir.

Et dans le jardin toute l’année ?

Certains jardiniers cultivent leur cymbidium dans leur jardin toute l’année. Pour peu que l’hiver soit relativement doux, 2 espèces sont bien connues pour leur résistance au froid : Cymbidium tracyanum (-4 °C) et Cymbidium georingii (-7 °C). Ils sont alors installés dans un sol très bien drainé et à tendance acide, en exposition ensoleillée le matin et le soir, mais ombragée pendant le milieu de journée durant la belle saison.

Ces orchidées ne doivent pas souffrir de sécheresse ni de surchauffe en été.

Parmi les cultivars, la rusticité est variable, mais en profitant de cymbidiums défleuris au rabais, on peut tester leur culture de même en extérieur toute l’année. Même un peu décaties, ces orchidées reprennent bonne figure rapidement dans le jardin.

Comment diviser le Cymbidium ?

La division d’une grosse plante riche en pseudobulbes est possible (parfois nécessaire d’ailleurs) au moment d’un rempotage printanier. Le rhizome est sectionné avec une lame aiguisée de manière à laisser un minimum de 3 pseudobulbes feuillés, dont 1 de l’année précédente sur chaque morceau. 

Il est important d’augmenter l’humidité atmosphérique autour d’une petite division le temps de son enracinement, à l’étouffée, par exemple.

Quelques Variétés de Cymbidiums

Plus de 16 000 hybrides sont enregistrés dans l’International Orchid Register avec une grande diversité de taille, de couleur et de forme, aux hampes dressées, retombantes ou intermédiaires (arquées).

De nombreux cymbidiums hybrides variés à grosses fleurs sont souvent commercialisés sans nom de cultivars. Généralement non parfumés, ils peuvent être rouges, roses, jaunes, blancs, avec des coloris très vifs ou des fleurs monochromes, bicolores, ou maculées.

Lorsque les hampes sont retombantes, donc pour des plantes à suspendre, on les qualifie de cymbidiums cascade.

  • Cymbidium ‘Sarah Jean’ est une plante de taille modeste aux fleurs blanc pur de 5 cm qui fleurit en cascade.

  • Cymbidium ‘Indian Summer’ exhibe en hiver de belles inflorescences retombant en cascade également, avec des fleurs rouges.

  • Cymbidium ‘Thana’ est un cymbidium cascade, compact, aux lumineuses fleurs vert jade.

  • Cymbidium ‘Anisa’ est une orchidée en cascade rose soutenu.

  • Cymbidium ‘Claire’ diffère vraiment des gros cymbidiums : ses fleurs aux tépales plus étroits sont beiges, striées de pourpre.

  • Cymbidium ‘Mini Pink’, assez peu encombrant, produit au printemps de délicates fleurs roses, nacrées.

  • Cymbidium ‘Cuba Libre’ est un bel hybride aux fleurs d’allure un peu sauvage, mouchetées dans les tons chocolat, rehaussées d’un labelle blanc ponctué de pourpre.

  • Cymbidium ‘Summer Love’, rose pâle, montre une forme de fleur qui se rapproche davantage des gros hybrides, mais avec l’avantage de rester de plus faible envergure.

  • Cymbidium ‘Pearl Flor’ comme ‘Summer Love’ offre de belles fleurs bien pleines, mais de couleur rouge, portées par une plante de taille modérée. 

  • Cymbidium ‘Golden Vanguard’ montre une forme de fleur plus « naturelle » d’une impressionnante teinte jaune vif, y compris son labelle.

  • Cymbidium ‘Kiwi Midnight‘ est une variété aux orchidées vraiment noires ! Heureusement un labelle un peu plus clair éclaire cette fleur tout à fait fascinante dans la manière dont elle absorbe la lumière.

Des espèces de Cymbidium

Nombre d’espèces botaniques de Cymbidium sont cultivables par les amateurs d’orchidées, parfois pas beaucoup plus compliquées à maintenir que les hybrides horticoles. Pour les cultiver avec succès, il faut cependant se renseigner sur leur origine afin de définir si ces espèces viennent d’altitude ; selon les cas, ces espèces ont besoin d’une période froide marquée, d’un climat tempéré frais à intermédiaire avec saison sèche ou d’un climat chaud et arrosé toute l’année. 

  • Cymbidium devonarium se trouve en vente chez les producteurs spécialisés. C’est une espèce dont la hampe retombante supporte jusqu’à 20 petites fleurs vert olive striées de pourpre, au labelle rougeâtre.

  • Cymbidium erythrostylum est une espèce tout à fait cultivable qui a une forme de fleur peu classique. Ses grands tépales blancs immaculés se projettent vers l’avant et la fleur, très jolie, avec son labelle rose strié de rouge, semble plus haute que large. En plus, sa taille globale reste modeste : elle peut être maintenue dans un pot de 20 cm de diamètre.

  • Cymbidium hookerianum est l’une des espèces qui montrent les plus grandes fleurs. Tépales et sépales sont verts tandis que le labelle est blanc et jaune ponctué de rouge. C’est une espèce parfumée qu’on peut cultiver presque aussi facilement qu’un hybride.

  • Cymbidium iridioides  montre de merveilleuses fleurs de 10 cm de large : parfumées, avec des tépales fascinants bruns, striés de rouge, bordés d’un liseré plus clair.

  • Cymbidium erythraeum est une espèce aux fines feuilles qui mettent joliment en valeur ses hampes arquées. Les fleurs de 8 cm, originale de forme, montrent des tépales vert olive striés de rouge, étroits et courbés.

  • Cymbidium dayanum a de petites fleurs (4 cm), mais est capable de produire plusieurs hampes par pseudobulbes. Ses fleurs, en forme d’étoile, plus hautes que larges, sont blanches avec une ligne médiane rouge sur chaque tépale et un labelle rouge. En outre, sa croissance réduite permet de la conserver dans un pot de 20 cm.

  • Cymbidium devonianum est une espèce miniature aux feuilles dressées de 20 cm environ, aux épis retombants. Il est caractérisé par son labelle très voyant, rose vif maculé de pourpre presque noir.

  • Cymbidium floribundum ou Cymbidium pumilum est une autre espèce miniature et parfumée, des plus désirables. Ses feuilles mesurent entre 30 et 45 cm, ses inflorescences retombantes se limitent à 40 cm et ses fleurs mesurent entre 2 et 4 cm, à raison de 12 à 36 fleurs par hampe. Les fleurs sont variables en couleur, de vert à brun pourpré avec un labelle blanchâtre marqué de jaune vif. Semi-terrestre, cette espèce est très adaptable, donc facile. Elle supporte les arrosages à l’eau calcaire.

  • Cymbidium lowianum est sans doute l’espèce la plus résistante en culture. Ses fleurs sont verdâtres avec un labelle blanc marqué d’un V pourpre brun caractéristique.

  • Cymbidium insigne est une espèce aux fleurs plutôt grandes de couleur rose. La forme Alba, d’un blanc pur, est merveilleuse. Cette espèce nécessite une saison sèche.

On en découvre encore parfois une nouvelle espèce 

Cymbidium repens, qui a sa propre section (repens), est une nouvelle espèce découverte à Taiwan en 2016. C’est une toute petite espèce étonnante, qui ne présente pas de pseudobulbes renflés et dont les tiges sont très espacées sur le rhizome. Épiphyte, elle vit à la verticale sur les troncs d’arbres. Ses fleurs sont vertes au labelle pourpre. 

Autres espèces surprenantes

  • Cymbidium macrorhizon est une orchidée terrestre qui ne fait pas de feuilles, aux petites fleurs blanches et rose. Seules ses tiges florales sont vertes. On peut imaginer que son métabolisme est davantage basé sur la mycotrophie (mycorhizes entre autres).

  • Cymbidium nanulum est une orchidée terrestre, mais c’est un Cymbidium sans pseudobulbe  : c’est son rhizome souterrain qui est un peu charnu (1 cm de diamètre pour 5 à 6 cm de long). Elle est haute de 20 à 30 cm et dresse 3 à 5 fleurs par hampes, espacées. 

  • Cymbidium kanran produit des fleurs qui détonnent parmi les cymbidiums. On y voit 3 tépales qui sont presque linéaires tant ils sont fins et étroits. Cette fleur très parfumée mesure 7 à 8 cm de large et son feuillage n’excède pas 40 cm. Elle est malheureusement délicate en culture.

Questions fréquentes

Pourquoi mes boutons floraux ne se développent-ils pas et tombent ?

Un déplacement de votre orchidée ou une température trop élevée (supérieure à 22 °C) peut être fatal à une floraison qui dans ce cas, avorte.

Pourquoi mes pseudo-bulbes sont-ils tous recroquevillés ?

Un manque d'eau se traduit par un dessèchement des pseudo-bulbes.

Pourquoi des taches noires apparaissent sur le feuillage ?

Un excès d'humidité en est sûrement la cause, diminuer donc vos arrosages. Laissez votre plante s'assécher.

Pourquoi l'extrémité de mes feuilles sèchent ?

L'humidité ambiante est insuffisante, vaporisez donc le feuillage régulièrement.

Le saviez-vous ?

Le nom Cymbidium vient du grec "kymbé" qui signifie bateau en référence à la forme de son labelle.

Au Bhoutan, l’olachotho est un plat traditionnel à base de boutons de fleurs de Cymbidium cuits avec du sel, du piment et du fromage.

La plante en bref

Botanique

Origine
Népal, Asie du sud-est, Indonésie

Floraison

Période
En hiver et au printemps en général, mais peut apparaitre presque toute l'année avec les hybrides
Couleur
Rouge, violet, rose, orange, jaune, vert

Port et feuillage

leaf
Type
Fleur d'intérieur
Feuillage
Persistant
Hauteur
De 60 cm à plus de 1 m avec les hampes florales

Plantation

Exposition
Lumière vive
Rusticité
10°C en général, certaines espèces provenant de l'Himalaya peuvent résister à de petites gelées
Sol
Mélange pour orchidées, espèce non épiphyte
Acidité
Neutre
Humidité
Humide
Utilisation
Pot, fleur coupée
Période favorable
Rempotez au printemps après la floraison

Entretien & Multiplication

Multiplication
Division de la touffe après la floraison
Taille
Coupez les hampes florales défleuries
Maladies & ravageurs
Les cochenilles

Espèces et variétés intéressantes

Le genre comprend environ 70 espèces et de très nombreux hybrides, il est difficile de trouver des espèces botaniques.

Article rédigé par Véronique MACRELLE

Vos commentaires

Louisette le 17/11/2021 à 11:31
Il m'a été offerte pour mon anniversaire le mois dernier une magnifique orchidée cymbidium à 2 branches de chacune au moins 8 fleurs.je constate depuis quelques jours des taches brunes sur les fleurs; j'ai mis ma plante dans la véranda avec un minimum de 12-13 degrés sans arrosage excessif. Quelqu'un peut-il me dire d'où viennent ces taches ? Je voudrais bien conserver le plus longtemps possible cette orchidée car elle est très belle et décorative.
Joséphine Collin le 27/03/2012 à 13:07
Henriielle L'meilleure Joséphine je t'aime
Joséphine Collin le 27/03/2012 à 13:06
Je t'aime aussi ma soeur
Facelia le 13/12/2007 à 10:13
N'est-il pas beau ? Cymbidium acheté à J...nd en septembre en fleurs, depuis toujours fleuri, encore deux tiges en boutons. Je passe des moments privilégiés à les admirer, moi aussi j'ai chopé le virus. Bonne journées à Tous.
Ppillons le 09/12/2007 à 18:08
Bonjour, Je viens d'acheter un Cymbidium en pot d'une belle taille (environ 70 cm de haut, 4 hampes florales, 3 gros pieds). J'ai coupé tous les fleurons afin de les récupérer pour une décoration. Je souhaite conserver la plante et l'entretenir. Dois-je couper les hampes restées sans fleurons ? Quels conseils me donneriez-vous pour l'entretien immédiat en cette période de l'année ? Merci de votre aide.